Je suis Adèle, j’ai 30 ans et je passe mes journées à écrire

Je rédige pour les entrepreneurs qui ne veulent pas faire les choses à moitié. Ceux qui veulent dominer les résultats des moteurs de recherche et devenir numéro 1 dans le cœur de leurs prospects. Et ceux qui en ont marre de perdre du temps à se saigner à rédiger des lignes que personne ne prend la peine de lire.

"Tu veux faire quoi dans la vie, toi ?"

“Tu veux faire quoi dans la vie ?”

J’ai jamais compris cette question. Et j’ai jamais compris qu’on passer la bague au doigt d’un taf jusqu’au jour de mon enterrement.

Moi, j’aurais voulu tester un métier différent tous les mois, pour jamais m’ennuyer et toujours apprendre.

Les mots et la psychologie humaine, ça a toujours été mon truc. J’ai passé 90 % de mon adolescence privée de sortie. J’ai essayé de comprendre pourquoi on me disait tout le temps que j’étais trop chiante, trop bizarre, trop cassante, trop compliquée (spoiler : la réponse a mis 10 ans à arriver).

Et je me suis créé un monde intérieur tellement riche que je n’en sors jamais vraiment.

J’ai lu. Autant des Coeurs Grenadine que la Bible que le dictionnaire.

J’ai écrit.

J’ai essayé de me comprendre et de comprendre les autres. J’ai grandi avec la désagréable sensation d’être incomprise, alors j’ai essayé de trouver les mots les plus justes pour exprimer l’émotion que je ressentais

Ce qui est vite rentré dans mon crâne, c’est l’importance des mots. Les mots, c’est la liberté, l’ouverture sur le monde.

J'ai démarré dans la communication en 2012, à l'âge de 18 ans

À l’époque, c’était aussi excitant qu’un bébé qui vient de naître. Facebook est né début 2008, j’avais pas encore mes règles. Les stories sur Instagram sont arrivées 8 ans plus tard, en 2016. En 2018, RGPD pour protéger nos données. Et tout s’est emballé ! Je savais que c’était un métier d’avenir. Le premier selfie : je reviens de loin ! 

Au début, c’était juste un moyen de faire-comme-tout-le-monde et de pas finir sous les ponts. J’étais pas franchement passionnée par ce que je faisais, j’attendais juste la fin de la journée, les yeux rivés sur l’horloge.

J’avais des diplômes à cocher et une carrière d’employée modèle à construire. J’ai étudié la communication à Paris, le journalisme à Dublin.

Voilà ce que ça a donné : EFAP, Griffith College, Efap Luxe, formation codage, certificat voltaire

Et j'ai continué à me laisser porter

Ce que j’aime bien là-dedans, c’est que la moitié de l’année, je suis en entreprise. Je planche sur la stratégie d’un musée, d’une radio nationale, d’une maison de retraite, et même d’un salon de coiffure. Je ne m’ennuie jamais sauf en cours. J’enchaîne avec une dernière année d’étude dans le luxe, 

Je bosse pour une boîte qui revend les données (à l’époque, c’était révolutionnaire, l’entreprise était même côtée en bourse)

 

J’étais responsable communication pour un réseau d’entraide entre femmes entrepreneures. C’est à ce moment précis que j’ai compris que tout le monde pouvait se lancer à son compte, qu’il y avait rien à perdre à essayer. 

Alors j’ai décidé de quitter mon job et de créer ma micro-entreprise.

Et ça a tout de suite bien fonctionné. J’ai déjà travaillé avec X clients.

3 trucs sur moi

JE MARCHE 30 000 PAS CHAQUE JOUR

J’ai dû me séparer de mon podomètre pour ma santé mentale.

J’AI UN SENS DE L’ORIENTATION
PROCHE DU NÉANT

Je suis sûre que je suis pas la seule à me perdre dans mon propre appartement de 50 m².

J’AI TOUJOURS DÉTESTÉ LE MOMENT DU COUCHER

Je dors très peu et je suis une vraie pipelette dès le matin.

On planche sur la rédaction de vos contenus éditoriaux ?

Parce que les bons mots peuvent impacter, fédérer et surtout… faire acheter. 

Si vous voulez améliorer votre croissance grâce aux mots :